
Une AESH à la cité scolaire Alain-Borne, a été licenciée en octobre 2024 pour inaptitude après avoir lutté contre un cancer du sein puis un cancer du poumon. Malgré des traitements médicaux, elle n’a pas pu bénéficier d’un mi-temps thérapeutique, et son congé de maladie grave a été pris en compte tardivement. Le licenciement s’est effectué sans entretien préalable en personne, seulement en visioconférence. La situation a choqué le personnel, qui a soutenu cette AESH par une pétition, soulignant un mauvais traitement. Le rectorat, de son côté, affirme avoir respecté la procédure réglementaire, mais un désaccord persiste concernant le montant de son indemnité.