
« Un professeur devant chaque classe. » C’est la phrase que le ministre de l’Education nationale, Pap Ndiaye, avait prononcée à grand renfort de communication quelques jours avant la rentrée de septembre. Or, moins d’un mois après, à Montélimar notamment, on ne peut pas dire que les mots ont été suivis d’effets.
Plus de 15 jours sans remplaçant
Déjà, fin septembre, le conseiller municipal d’opposition Christophe Roissac, lors de la réunion du conseil, avait alerté le maire et les élus, sur de premiers dysfonctionnements, dont le non-remplacement des professeurs des écoles absents. C’est d’ailleurs à l’école...
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